BIENVENU DANS LA REGION |
SAVA |
de l'ïle de MADAGASCAR
la capitale mondiale de l a vanille. |
TOURISME, SPORT ET DECOUVERTES, EN SOLO OU EN VOYAGES ORGANISES
Des randonnées pédestres, en TREK ou en TRAIL, à travers des paysages d'une variété infinie,
longeant le légendaire fleuve BEMARIVO dans la Grande Vallée de la Vanille à MADAGASCAR
Ou escaladant l'extraordinaire Pic du Marojejy, ce parc national malgache, sanctuaire de la nature
Aller en
pionnier à la découverte du site d'AMPAMBOKINANA, une curiosité géologique unique au monde et qui reste encore mal connue
même à Madagascar Et
au retour, se relaxer au bord d'une barge du fleuve Bemarivo, « la rivière de
bonne espérance » à la malgache.
Pour "séjour limité" , des circuits d'une journée pour vous dévoiler les merveilles cachées de la région SAVA
L'ADMINISTRATION A SAVA,
UNE DES 22 REGIONS DE MADAGASCAR
SAVA, une des 22 régions de Madagascar et une des 2 régions que compte la province d'Antsiranana ex-Diégo-Suarez, est située dans la côte nord est de la grande île.
Elle comportent 4
Districts, et les premières lettres des noms de celles-ci composent le
nom de la région: SAMBAVA,
ANTALAHA, VOHEMAR,
ANDAPA. D'où l'appellation SAVA.
Sambava, située au cente
des trois autres districts, est la capitale régionale. Tandis que,
Antalaha est située au sud, Andapa plutôt à l'ouest, le seul qui se
trouve à l'intérieur des terres, et Vohémar au nord. Les
villes d'Antalaha, de Sambava et de Vohémar sont toutes au bord de la
mer, cote à cote devant l'Océan Indien.
La région est dirigée
par un Chef de Région, assisté des quatres Chefs de District qui,
chacun a en charge une des quatres circosncriptions dont les quatres
villes sont les chefs-lieu respectifs. La région de SAVA étant divisée
en quatre districts.
Chaque District est
enfin divisé en une trentaine de communes rurales en plus de la commune
urbaine du chef-lieu correpondant. Enfin, chaque commune est fragmentée
en une dizaine de Fokontany, centre local de l'administration
de proximité.
LE DISTRICT DE
SAMBAVA
Sambava c'est le chef-lieu de la région SAVA.
Le suffixe "...BAVA" en malgache a toujours trait à la bouche qui se traduit par "VAVA" et le jeu de mots "Sambava, zay tsy mahay mitam-bava" est un célèbre adage de la région qui signifie littéralement, "CELUI QUI NE SAIT PAS METTRA LA MAIN SUR SA BOUCHE (par étonnement ~ restera bouche bé) pour marquer la spécificité de la ville de Sambava par rapport aux autres agglomérations urbaines de Madagascar.
Sambava est sans aucun doute la plus singulière des villes de la grande île, de part sa culture même, de part la structure cosmopolite de sa population composée d'apatrides originaires de tous les horizons de la grande île, la richesse du district dont elle est le chef-lieu, et la particularité de ses ressources environnementales. Mais elle a une certaine similarité avec Antalaha sur le plan climatique que du dialect parlé: le betsimisaraka. On dit: "mbôla tsara andré", pour dire "bonjour".
Pour en savoir plus sur Sambava, cliquez sur la bannière
LE DISTRICT D'
ANTALAHA
Antalaha est la deuxième ville de la région SAVA et le district dudit a une certaine similarité avec celui de Sambava, tant sur le plan climatique que du dialect parlé: le betsimisaraka. On dit: "mbôla tsara andré", pour dire "bonjour". Mais elle se singulatrise par sa dotation en port de boutres, qui lui permet de communiquer avec les autres villes côtières de l'est de l'île par voie maritime et par lequel un important volume de marchandises est échangé avec Toamasina.
Pour en savoir plus sur le District d'Antalaha cliquez sur la bannière
LE DISTRICT DE
VOHEMAR
Vohémar est la ville la plus au nord de la région SAVA et se distingue surtout par son climat plus sec et son dialect plus proche du dialect du nord ouest de l'île de Madagascar:le sakalava . On dit: "mbôla tsara anarô", pour dire "bonjour". Sa flore clairesémée a favorisé l'élevage extensif des zébus, ce qui rend le district le plus riche de la région en bétails. Les bétails y sont laissés en toute liberté. C'est là que se trouve le port commercial de la région qui assure le trafic maritime des marchandises avec les grands ports de Madagascar dont Toamasina, mais aussi avec l'étranger.
Pour en savoir plus sur Vohémar cliquez sur la bannière.
LE DISTRICT D'
ANDAPA
Andapa est la seule ville non cotière des quatre villes de la région de SAVA. Le district qui se situe dans les terres plus à l'ouest de Sambava.
Située en altitude, elle est caractérisée par son climat plus frais et son dialect est plus proche du tsimihety. On dit: "mbôla tsara aré ", pour dire "bonjour". Le district d'Andapa est réputé pour être le grenier à riz de la région de SAVA car il en est le plus grand producteur, et même le seul district qui pratique la culture intensive à vocation commerciale du riz.
Pour en savoir plus sur le district d'Andapa cliquez sur la bannière.
TOURISME
SAVA
UNE CURIOSITE TOURISTIQUE ET ECOLOGIQUE A EXPOLRER
Si le Jardin
d'Eden existait encore, il serait dans la SAVA de Madagascar!
La région SAVA en elle-même constitue déjà une grande réserve
naturelle car quatre grands sanctuaires de la nature sont répartis
naturellement entre les quatre districts qui composent la région:
LA RESERVE SPECIALE DE MASOALA située entre Maroantsetra au sud et Antalaha
au nord,
L'AIRE PROTEGEE DE DARAINY au nord de Vohémar,
LE
MAROJEJY NATIONAL PARK à 60 km de Sambava, entre Sambava et Andapa et
LA RESERVE D'ANJANAHARIBE à Andapa.
traversée d'Ambinanibe |
village de Marogaona Bemarivo |
a randonnée, à travers les vanilliers |
sur le fleuve Bemarivo |
![]() les barges du fleuve Bemarivo |
cascade d'Ampambokinana |
cascade à Ampambokinana |
le canal
d'Ampambokinana |
le plus petit caméléon du monde à Marojejy |
|
Une des especes de lémuriens de Marojejy |
le lémuriens sifaka soyeux de Marojejy |
Tourisme à SAVA, une proménade de santé!
Si le jardin d’Eden existait vraiment, la SAVA de Madagascar n’en serait pas loin! Qu’est-ce que Adam et Êve n’auraient pas trouvé à SAVA?
D’abord rien de tel qu’un trek à travers l’air pur de la verdoyante nature savayenne pour redonner de la fermeté aux muscles ramollis par le mode de vie sédentaire des grandes villes et surtout pour faire le vidange des méninges et retrouver une tête bien claire.
C’est rarement mentionné dans les dépliants mais dans quel pays au monde trouve-t-on un aussi large choix de fruits exotiques à longueur d’années, de diverses espèces et de goûts, aussi riches en éléments nutritifs les uns que les autres.
Et quand on considère que 80% des espèces de faune à SAVA sont endémiques, que la majeure partie de celles-ci contient des vertus thérapeutiques, et que la plupart des plantes et fruits reconnus mondialement comme anti-cancéreux poussent à gogo dans le carré vert de SAVA, alors ce n’est peut-être pas une mauvaise idée de voyager à SAVA en rendant l’utile à l’agréable: LE TOURISME ET LA SANTÉ
!
pervenche de
Madagascar qui contient une substance reconnue très efficace contre le
cancer
VANILLALAND TOURS est pionnier dans la plupart des circuits que nous proposons. Nous avons découvert nous-mêmes ces sites originaux qui composent nos circuits et sommes le premier sinon le seul opérateur touristique à les présenter aux visiteurs étrangers.
HEBERGEMENTS ET RESTAUIRATION A SAVA
A SAVA, ce
n'est pas les bons hotels qui manquent . Des plus simples, compacts et
bon marché à moins de 4? la nuit, au plus confortables, deux étoiles
maximum, climatisés, meublés, à l'intérieur des terres ou en bord de
mer. dans des quartiers les plus animés ou en périphérie de la ville. Mais il est aussi
possible, soit de louer un appartement ou carrément une maison
indépendante au mois le temps d'un séjour, ou opter pour un
tourisme communautaire qui vous permettra de vous faire héberger par
une famille dans le cadre d'un arrangement pécunier ou en contre-partie
d'une compensation en nature. Les "savaouites"étant de nature très
sociables et accueillants, ce dernier procédé vous donnera l'occasion
de vous familiariser et de vous intégrer à la communauté, mais surtout
de vous faire des amis qui vous le resteront au-délà de votre
séjour dans la région.
De la végétation très
diversifiée de la SAVA est née une grande variété de produits
artisanaux, allant des mobiliers et équipements en diverses espèces de
bois de tek ou en tiges de palmiers, des sacs, chapeaux, nattes et
soufiques en barrane, feuilles de roseaux ou pailles, au figurines en
gousses de vanille tressées et aux vases, boîtes à bijoux, bonbonnières
ou coupes en bois de rose, en passant par des matières de récupération
telles gaines de cartons en plastique ou des bandes magnétiques avec
lesquelles les artisanes autochtones font de magnifiques objets pour
dames dont sacs et chapeaux.(
LES COUTUMES LOCALES
Dans
la SAVA, la coutume est caractérisée par la philosophie de la
vénération des morts. Elles se manifeste par l'existence de trois types
de cérémonies toutes basées sur la croyance en la suprêmatie des
ancêtres: le Asahara¨na, le Tsikafara et le
Ras'haria¨na.
Une fête de ce genre est appelée le Tsaboraha.
Le Tsikafara est une
cérémonie de sacrifice de zébu pour tenir une promesse faite à un ou
des ancêtre(s) décédé(s) depuis longtemps, en échange de la réalisation
d'un voeux. Le voeux peut consister en l'acquisition de richesse, en la
naissance d'un enfant ou en toutes autres formes d'événement souhaité.
Pour obtenir telle ou telle chose, un sujet, généralement descendant de
l'ancêtre, prie celui-ci pour le bénir et faire en sorte que son voeux
se réalise, et en échange le demandeur fait le serment de faire un
sacrifice de zébu dès que le voeux est réalisé.
Le Ras'haria¨na est une
cérémonie de sacrifice de zébu pour marquer le respect et le dévouement
à un parent récemment décédé, généralement proche parent tel que père,
mère, grand-père, grand-mère ou tout autre proche parent en qui on doit
respect et reconnaissance. En fait, Le Ras'haria¨na vient de la fusion
de deux notions: rasa qui signifie partage et haria¨na(harena) en
malgache officiel, qui signifie richesse ou simplement biens. Le
principe général du Ras'haria¨na est donc d'offrir au parent décédé,
une part de ses biens. Cette idée vaut encore plus si le parent décédé
à laissé lui aussi derrière lui des biens qu'il a acquis durant sa vie.
Biens dont le sujet reconnaissant continue à jouir. A la différence du
Tsikafara le Ras'haria¨na relève de la simple volonté du sujet et
n'exige pas qu'un serment ait été fait auparavant.
Ces deux formes de cérémonie sont typiques de la côte nord-est de
Madagascar et constitue un véritable esprit de vénération des ancêtres.
Les rites durant le sacrifice du zébu:
La tête du zébu est protégée contre les mouches par les descendants les plus jeunes
Une portion du met, composée de riz cuit et des meilleures parties de la viande est déposée sur une tablette de fortune faite de branches d'arbuste, à l'intention de l'esprit de l'encêtre vénéré
LE TSOLABE
Ceci est une publication de
mise à jour le 10/04/2014